Les droits des femmes sont des droits humains. Le vendredi 4 novembre, c’est sous ce thème que l’école secondaire Mont-Royal a accueilli le Congrès annuel d’Amnistie internationale, une organisation qui lutte pour les droits humains, entre autres les droits des femmes. Ce congrès visait à informer les élèves venant d’autres écoles du Québec sur différents volets des droits des femmes.
Je m’appelle Maria Alycia et je fais partie de l’équipe de bénévoles qui ont aidé durant le Congrès. En tant que bénévole, notre équipe ainsi que l’équipe d’Amnistie y travaillaient depuis beaucoup de temps. C’était dur mais nous étions tous dédiés au bon déroulement de cet événement tant attendu. La plupart des bénévoles faisait déjà partie du comité des droits humains de notre école avant l’annonce du Congrès. Les droits des femmes étaient déjà très importants pour nous tous, ce qui nous a encouragés à mettre toute notre énergie dans cette organisation. Nous étions fiers du résultat final.
En tant que militante, j’étais extrêmement honorée de participer à un tel événement et de faire partie des porte-parole qui ont énoncé sur scène, devant près de 400 personnes, la déclaration de reconnaissance des territoires autochtones non cédés. C’était un moment très important pour moi et écouter toutes ces personnes prendre parole et montrer leur dévouement à cette cause était très excitant.
Le nombre d’élèves venus d’autres écoles était surprenant et tous les ateliers étaient pleins. À la fin de la journée, toute notre équipe était soulagée du bon déroulement et je pense que tout le monde a bien accompli sa part tout en gardant la joie et en s’amusant. Nous en parlons encore. Je peux dire avec assurance que c’était une journée à ne pas oublier pour nous toutes et tous!
Texte de Maria Alycia, bénévole; édité pour fins de concision
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Élèves de Franck
